(Note de lecture), Marcella, La Sorcière ne ment jamais, par Osez le Féminisme 84
Dans ce recueil, il y a du symbole dans les mots, il y a du symbole dans l’écriture : la « sorcière » est la femme, les répétitions racontent une douleur qui n’en finit pas, une charge qu’on fait peser sur les femmes depuis la nuit des temps, encore et toujours.
On y trouve l’expression d’une intériorité dans des mots quotidiens, simples, universels : savoir, apprendre, entendre, repérer, oublier, sentir, respirer …
Marcella parle aussi du corps dans ses multiples transitions, douleurs, expositions…
Chaque poème exprime autant la souffrance face aux violences patriarcales, aux injonctions qui répriment, aux réponses paternalistes que la force mêlée à la faiblesse de la (sur)humaine…. puisque sorcière !
Lisez-le!
Aissata
Source : https://www.instagram.com/p/C40LgVYCdhz/?igsh=MWZiNXhhOTFhYjIxYQ==